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Études Acoustiques

Associer étude thermique et étude acoustique,

pour optimiser les phases conception et réalisation de vos projets

En braquant les projecteurs sur l’impérieuse nécessité d’améliorer de manière significative la performance thermique des bâtiments pour une meilleure maîtrise de la demande d’énergie, l’acoustique a tendance à être relayée au second plan. Or le bruit concerne tout le monde et plus d’un français sur deux se plaint de nuisance sonore. Aussi, si l’on souhaite réellement parler confort, thermique et acoustique doivent être l’un et l’autre pris en compte dès la phase conception.

Dans le neuf, l’accent est une fois encore mis sur la thermique faisant de l’acoustique un parent pauvre. Il faut le déplorer. Cela étant, la réglementation acoustique en France date de 1969 et n’a cessé depuis de se renforcer afin de mieux répondre aux besoins actuels. Elle s’applique pour les bâtiments neufs et parties nouvelles de bâtiments existants, et les labels HQE ou Qualitel font, à fort juste titre, de la notion acoustique un élément à prendre en compte au niveau du bâti. Un enjeu suffisamment important pour que Synergisud s’investisse sur la question afin d’allier les problématiques de la thermique à celles de l’acoustique. Synergisud se propose, dans la phase qui précède la consultation des entreprises, de conduire en parallèle les calculs règlementaires thermiques et acoustiques « bruits aériens extérieurs » et « bruits intérieurs ». Une façon plus rationnelle d’intégrer dès le départ ces deux contraintes, d’orienter la maîtrise d’œuvre comme la maîtrise d’ouvrages vers des produits alliant la double performance ou en jouant la complémentarité de produits la plus pertinente. Une manière plus efficace et plus pérenne d’optimiser le confort des futurs occupants. Une approche qui se révèle en outre le plus souvent moins coûteuse par rapport à la dissociation des deux approches qui, poussées chacune dans leurs objectifs spécifiques exclusifs peuvent conduire, sans le vouloir, à des contradictions. Contradictions qu’une vision globale pourra plus facilement identifier et solutionner.

En rénovation, le problème se pose avec une acuité encore plus grande. En effet, pour les bâtiments anciens en rénovation, aucune réglementation acoustique n’est actuellement en vigueur. Cela étant, si l’on veut sensiblement améliorer le confort des occupants ou tout simplement accroître la valeur patrimoniale d’un bien, il est recommandé de se calquer sur les exigences de l’arrêté du 30 juin 1999. Dans ce cas, selon la date de construction du logement, les situations seront très contrastées. Ainsi pour les constructions d’avant 1970, l’isolation acoustique est le plus souvent inexistante, puisqu’aucune réglementation acoustique n’était en vigueur alors que pour les constructions réalisées entre 1970 et 1995, l’isolation acoustique doit répondre à la réglementation du 14 juin 1969 qui fixait des niveaux d’isolement pour les planchers, les cloisons et les équipements mais ne prenait pas en compte l’isolement contre les bruits de l’espace extérieur. Bref, les situations sont multiples et complexes. D’autant qu’il conviendra également de prendre en compte les travaux imposés par la réglementation thermique dans l’existant.

Une fois encore, une étude groupée se révélera pertinente, plus économique en temps et en honoraires. Enfin, et ceci est sans aucun doute un gage de facilité pour une maître d’œuvre comme pour un maître d’ouvrage, vous n’aurez plus qu’un interlocuteur unique.